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Belgique: 2023-11-20 12:09:51 , Actualité – sudinfo.be


Par Sudinfo avec Belga
« Malgré les pluies limitées d’hier et d’avant-hier, et grâce en partie aux efforts des différents services de gestion et de secours, la tendance à la baisse du niveau de l’Yser se poursuit », se réjouit Waterinfo. Lundi matin, cependant, une nouvelle zone de pluie atteindra l’ouest du pays. Une moyenne de cinq à dix litres de précipitations par mètre carré est attendue en Flandre occidentale. Le modèle météorologique le plus pessimiste parle de pics allant jusqu’à 30 litres d’eau par mètre carré dans le nord de la France et sur les deux Flandres. Très localement, il mentionne même 40 litres par mètre carré dans le Westhoek, mais aucun code jaune n’a été émis en raison de la faible probabilité.
Des précipitations de 5 à 10 litres par mètre carré n’auront en principe que peu d’effet sur la tendance à la baisse.

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Sur le canal Dunkerque-Nieuport, le niveau d’eau à marée haute flirte avec le seuil de pré-alerte. Dans la mesure du possible, l’eau continue donc d’être évacuée via la France, afin de soulager au maximum l’Yser.

Inondations dans le Westhoek : les pompiers demandent aux curieux de ne pas se rendre dans la région
Par ailleurs, un débit de 90 mètres cubes par seconde est mesuré sur la Lys à Menin. Le débit pourrait rester élevé pendant encore un certain temps et atteindre un maximum de 125 mètres cubes par seconde en raison des nouvelles précipitations prévues lundi.


Par Sudinfo
Les pluies de ces derniers jours n’ont pas épargné la Belgique, et plus particulièrement la Flandre-Occidentale et le Westhoek. Après de fortes inondations, la décrue commence dans la région de Ypres.
Dans cette zone, où la Première Guerre mondiale a fait de nombreuses victimes, plusieurs habitants ont eu le droit à un événement effrayant.
En effet, le sol, étant plus mou à cause de la pluie, a laissé remonté à la surface… des obus, explique HLN. «A plusieurs endroits, nous avons reçu des appels», explique le porte-parole de la police de l’arrondissement de Ypres, à nos confrères. «Même après plus de 100 ans, ces projectiles restent dangereux. Nous demandons aux gens de contacter notre poste de police après la découverte», poursuit la police.
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